Qui suis-je ?

Marie Quoëx - écrivain public

 

Je suis titulaire d’une maîtrise de Lettres Classiques, du diplôme de Bibliothécaire-Documentaliste délivré par l’Ecole de Bibliothécaires-Documentalistes de l’Institut Catholique de Paris, et j’ai suivi la formation au métier d’écrivain public dispensée par le CNED.

J’ai par ailleurs passé la certification Voltaire et ai obtenu le score maximal de 1000 points.

J’ai été pendant cinq ans responsable d’un centre de ressources spécialisé en littérature dramatique contemporaine à Paris (association Aneth – Aux nouvelles écritures théâtrales).

 

Lectrice passionnée et rédactrice acharnée

Les mots furent très tôt pour moi un refuge, une île, des compagnons de route à la fois discrets et généreux.

Depuis longtemps témoin de leur pouvoir de conviction ou encore de leur vertu cathartique et émancipatrice, j’ai à cœur d’aider tout un chacun à s’emparer à son tour de la puissance des mots pour en faire des alliés efficaces.

J’ai eu l’occasion d’animer des ateliers de lecture, en milieu scolaire, notamment ; j’ai alors constaté à quel point les enfants pouvaient être transformés par leur propre rencontre avec les mots, ceux des autres mais aussi… les leurs !  Apprivoiser un texte, trouver le mot juste leur apportait une merveilleuse satisfaction personnelle, leur redonnait confiance en eux.

De même que j’aime me plonger dans une nouvelle lecture, j’aime pénétrer de nouveaux univers et écouter les autres se raconter.

Le métier d’écrivain public conjugue à merveille deux de mes plus grandes passions : les mots et les rencontres. J’aime la rédaction en solitaire, pas la solitude !

Dans l’exercice de mon métier, je souhaite avant tout partager mes compétences en me mettant « au service de ».

Pour vous je serai Œil et Plume, Oreille et Main. Laissez-moi devenir le trait d’union entre vos désirs et vos écrits…

 

Pourquoi « Mots-lierre & Racines  » ?

Symbole ancestral, le lierre représente l’éternité ; les mots, quand on les écrit, rendent les pensées immortelles…

On parle de « racine » pour évoquer la plus petite et la plus ancienne unité lexicale permettant de former des mots apparentés ; les « racines », ce sont aussi les bases, les fondements, d’une famille par exemple. J’aime les mots, leur forme, leurs particularités, mais je m’intéresse aussi aux racines familiales, à ce qui constitue le socle de l’histoire de chacun.

La métaphore végétale est synonyme de vie, de vigueur, à l’image de la langue, bien vivante tant qu’on l’utilise.

Molière et Racine, enfin, auteurs incontournables, ont été choisis ici comme parrains pour leur talent et leur complémentarité : Molière le comique, Racine le tragique. Puissent-ils toujours me guider et maintenir intacte ma passion de l’écriture, des écritures…

 

Je me demande si je ne suis pas en train de jouer avec les mots. Et si les mots étaient faits pour ça ?  – Boris Vian, les Bâtisseurs d’empire, 1959

 

Marie LIBAUD-QUOËX, écrivain public